Portraits du Makay

Qu’ils soient chercheurs, étudiants, écovolontaires, français ou malgaches, ils vous font partager leur expérience vécue lors de l’expédition Makay 2017 !

 

RADO, BOTANISTE

Rado, botaniste à l’Université d’Antananarivo, nous présente son principal sujet d’étude lors de l’expédition Makay 2017 : le Canarium. Un arbre qui joue un rôle crucial dans l’équilibre des écosystèmes forestiers du massif.

  •   Pourquoi cette étude sur le Canarium ?
  •   Quelle place occupe le Canarium dans la culture malgache ?
  •   Comment s’est passé le travail avec les écovolontaires ?

AURÉLIE CALMET, DESSINATRICE

Aurélie Calmet, dessinatrice et illustratrice de terrain, évoque avec nous son rôle au sein de l’expédition Makay 2017 et le rapport qu’elle entretient avec le dessin. Morceaux choisis.

  • –  Le dessin : ça apporte quoi ?
  •   Quel regard portes-tu sur le dessin ?
  •   Tes dessins de terrain, c’est…
  •   Une dernière chose ?

JEAN-FRANÇOIS, CARCINOLOGISTE

Jean-François Cart est spécialiste des Cladocères ‒ petits crustacés planctoniques d’eau douce ‒ qui n’avaient jamais été étudiés auparavant à Madagascar. Il tire avec nous le bilan de ses recherches dans le Makay.

  • –  Pourquoi ne trouve-t-on quasiment aucun Cladocère ici ?
  •   Comment s’est passée la collaboration avec les autres chercheurs ?
  • –  Quel regard portes-tu sur la jeunesse scientifique ?

LÉO GRASSET, DIRTYBIOLOGY

Quand Léo Grasset, le youtubeur aux plus de 750 000 abonnés de la chaîne DirtyBiology, se retrouve plongé au cœur d’une expédition scientifique au fin fond de Madagascar, ça donne quoi ? Réponses – et confessions… – de l’intéressé.

  •   Cette expérience, c’est nouveau pour toi ?
  •   Un mot sur la transdisciplinarité ?
  • –  C’est comment ici ?

➝  Visionner l’épisode réalisé lors de la mission : Une science pour protéger la Nature

MENDRIKA, ICHTYOLOGUE

Mendrika, étudiante en master 2 de biologie à l’Université d’Antananarivo, est spécialisée en ichtyologie (étude des poissons). Elle nous raconte son expérience au cours de l’expédition Makay 2017 et la découverte du Pachypanchax, petit poisson d’eau douce endémique du massif.

  • –  Que sait-on des poissons dans le Makay ?
  •   Une découverte en particulier ?
  •   Le Pachypanchax, il ressemble à quoi ?
  • –  Pourquoi le trouve-t-on ici et pas ailleurs ?

MÉLANIE, INFIRMIÈRE 

Mélanie, infirmière sur les trois premières semaines de l’expédition Makay 2017, nous explique en quoi consistait son rôle au sein de cette mission scientifique participative du bout du monde.

  • –  Qu’as-tu soigné ?
  • –  Ton rôle dans l’expédition ?
  •   Mis à part les petits bobos ?

MANON, HERPÉTOLOGUE

Manon, herpétologue de l’expédition Makay 2017, nous parle de son travail de recherche dans le massif du Makay et de ses sujets d’études : les reptiles et les amphibiens.

  • –  C’est quoi l’herpétologie ?
  • –  Ton ressenti sur l’expédition ?
  •   Une découverte phare pour toi ?

MARC, ÉCOVOLONTAIRE

Marc, étudiant en master à l’Université de Strasbourg et ornithologue amateur, partage son expérience de trois semaines en tant qu’écovolontaire sur l’expédition scientifique participative Makay 2017.

  •   Ça donne quoi l’expédition sur le terrain ?
  •   Une émotion forte ?
  •   Un domaine de prédilection ?

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Portraits du Makay : contexte

À l’été 2017, l’association Naturevolution organisait une grande expédition scientifique transdisciplinaire dans le massif du Makay, à Madagascar, dix ans après la première traversée de ce “monde perdu” par son fondateur, Evrard Wendenbaum.

Pendant 6 semaines, des chercheurs, des étudiants et de nombreux éco-volontaires ont contribué à l’inventaire biologique et archéologique de cette région en grande partie inexplorée. À la clef, de nombreuses découvertes dans les 9 champs disciplinaires étudiés au cours de la mission : primatologie, mammalogie, ornithologie, herpétologie, ichtyologie, entomologie, carcinologie, botanique, archéologie. Et un constat : il faut agir vite pour protéger ce coffre-fort de biodiversité.

C’est à cet ambitieux projet que Barbara Réthoré et Julien Chapuis ont décidé de s’associer en tant que responsables de la valorisation du travail scientifique et de la création de supports pédagogiques.

CRÉDITS